Charles Wansbrough

« Ce qui m’intéresse, c’est le changement de paradigme scientifique que peut représenter l’homéopathie. Nous faisons confiance à la médecine et aux technologies modernes mais nous nous méfions de l’homéopathie parce qu’elle refuse de se conformer aux modèles scientifiques actuels. Pour surmonter ces préjugés essentiels, il faut financer des instituts qui osent remettre en question la vision scientifique dominante sur le monde, et explorer de nouveaux modèles qui nous permettent de mieux le comprendre.

L’homéopathie est trop bien ancrée et prisée des patients pour être purement et simplement bannie. Mais tant qu’on ne comprendra pas son mécanisme d’action, elle continuera à faire l’objet de controverses. Faute d’un modèle cohérent pour expliquer son fonctionnement, l’impact de l’homéopathie sur la santé mondiale est limité, malgré les formidables perspectives qu’elle ouvre sur les relations entre corps et esprit et sur les propriétés de la matière, par exemple. Il est donc indispensable de financer des instituts comme celui-ci, qui encourage les scientifiques dans leurs efforts pour répondre à la question essentielle du fonctionnement de l’homéopathie. »

Lady Mary Holmes

« Moi qui ai suivi un traitement homéopathique dès l’âge de six ou sept ans, je suis bien placée pour connaître ses nombreux avantages. Au cours des trente dernières années, j’ai été soumise à plusieurs reprises à un stress important qui a eu des conséquences négatives sur ma santé et mon bien-être en général. L’homéopathie m’a été d’un secours inestimable pour traverser ces épisodes… sans effets secondaires ! C’est l’un des grands avantages de l’homéopathie : le médicament est pertinent mais n’a pas d’effets secondaires. J’ai aujourd’hui plus de soixante-dix ans et je continue à mener une vie active, grâce à l’homéopathie qui m’aide à rester en bonne santé. »